Refuge
A cette nuit qui n’en finissait pas de renaître
Aux heures libres jamais perdues
A l’indulgence des horloges
Au chaos du temps renversé
A tes yeux où les miens, troublés, nageaient
A tes bras refuge au milieu du flou
Dans le vague roulis du bus
Et le dédale des rues
Aux rêves ivres d’épuisement
Aux rêves plus réels encore
Que les flots des miroirs
A ton sourire de Sheshire
A l’hypnose de ta voix allumée
Aux distances imparcourues
A la foulée de mes mains arpenteuses
A ma terre promise si longtemps cherchée
A mon si verdoyant pays
De pierre, d’eau et de sève
A mon île sereine baignée de lumière
A mon Avalon
A toi.
Retour aux articles de la catégorie le Recoin du Passionnel -
⨯
Inscrivez-vous au blog
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 6 autres membres