Sans
Oh, ces jours de mélancolie où le manque terrible de toi me déracine le coeur… Dans mon cerveau croissent des brumes où tu te loves, et où tout s'estompe, hors l'impérieux désir que rien n'apaise, sinon ta peau nue. Je rêve à des flots puissants, écumants, où nous surnagerions à peine, et à des heures sans durée, qui ne seraient que nôtres. Je songe à des enclaves… Le présent se fissure, et la concentration éclate ; dans les brèches s'étire la mémoire aux longs bras. Et te voilà encore, plus présent dans ton silence.
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